Dans une ville de l'Ohio, une bande de pré-ados tournent un film à l'aide d'une caméra Super 8 et sont les témoins involontaires d'un déraillement de train. Puis, c'est une créature sans doute extraterrestre qui sème la terreur dans les parages...
L'univers de LAURENT F. BOLLEE, plus connu sous ses initiales LFB ! BD, course automobile, réflexions personnelles au menu... sans oublier les critiques ciné de notre chroniqueur El Bacos ! Welcome...
29 juillet, 2011
Super 8 **
25 juillet, 2011
F1 : GP d'Allemagne - Hamilton sehr gut
J'avoue que je pensais que Vettel remettrait les pendules à l'heure chez lui après sa défaite régulière face à Alonso à Silverstone - eh bien pas du tout. Non seulement le jeune champion du monde n'a jamais semblé souverain, mais il signe même son plus mauvais résultat de l'année (4e tout de même). Tant mieux pour le spectacle après tout, et il n'est pas illogique de voir qu'Hamilton le rejoint dans le grand livre d'or de la F1 avec 16 victoires. La course a été intéressante avec trois pilotes de trois équipes différentes en bagarre presque jusqu'au bout et ce n'est pas tous les jours qu'on voit deux champions du monde, sur leurs terres, partir en tête à queue au même endroit pour les mêmes raisons !
Les étoiles du Nürburgring :
*** : Hamilton
** : Alonso, Sutil
* : Webber, Rosberg, Kobayashi
Le classement après 10 GP :
Vettel : 20 étoiles.
Hamilton, Alonso : 13.
Button : 10.
Webber, Kobayashi : 8.
Perez, Schumacher, Rosberg : 5.
Heidfeld, Petrov, Massa : 4.
Buemi, Alguersari, Sutil : 3.
Barrichello, Di Resta : 2.
Maldonado, Liuzzi : 1.
Les étoiles du Nürburgring :
*** : Hamilton
** : Alonso, Sutil
* : Webber, Rosberg, Kobayashi
Le classement après 10 GP :
Vettel : 20 étoiles.
Hamilton, Alonso : 13.
Button : 10.
Webber, Kobayashi : 8.
Perez, Schumacher, Rosberg : 5.
Heidfeld, Petrov, Massa : 4.
Buemi, Alguersari, Sutil : 3.
Barrichello, Di Resta : 2.
Maldonado, Liuzzi : 1.
18 juillet, 2011
Un Amour de Jeunesse ***
Paris 1999, Camille 15 ans, avec Sullivan, un peu plus agé. Folle amoureuse. Mais Sullivan part en Amérique du Sud, ils ne se retrouvent pas, Camille s'isole, déprime. Elle se met en couple avec un architecte, Lorenz, bien plus âgé. En 2007, elle retrouve par hasard Sullivan.
La danoise Hansen Love confirme son talent, surtout vu dans son deuxième film, excellent, "Le père des mes enfants". Un mélange de sa personnalité nordique et de sa culture de film français intimiste. Elle semble perpétuer une tradition, plus proche de Truffaut et Téchiné que de Rohmer, une priorité à la narration et aux personnages plus qu'aux artifices de la langue et au jeu de la séduction. Le sentiment amoureux avant tout, dans son évidence et sa violence cachée. Film attachant car particulièrement sobre, sans en rajouter dans la sentimentalisme, au contraire. Pas évident car il faut accepter pas mal de lenteurs, disons une lenteur mélancolique et silencieuse, qui correspond à la personnalité de Camille, sage en apparence, et dévorée par ses sentiments. Hansen Love filme le portrait d'une ado du début des années 2000, à Paris, qui grandit, s'affirme, et se retrouve, adulte, confrontée à sa passion d'adolescence et à ses choix de vie de femme. Cette partie, le retour de Sullivan dans sa vie, amant caché, est d'ailleurs la meilleure. Une belle alternance de saisons, Paris en hiver, sous la neige, l''Ardéche et la campagne sous le soleil d'été. Film pas toujours évident, en apparence trés (trop) simple, mais qui sait bien rendre le temps qui passe. Le bon film d'auteur français du mois de juillet, par excellence.
11 juillet, 2011
F1 : GP de Grande-Bretagne - Alonso saute sur l'occasion
Les étoiles de Silverstone :
*** : Alonso
** : Hamilton, Perez, Schumacher
* : Massa, Rosberg, Alguersari, Di Resta.
Le classement après 9 GP :
20 étoiles : Vettel
11 : Alonso
10 : Button, Hamilton
7 : Kobayashi, Webber
5 : Perez, Schumacher
4 : Heidfeld, Petrov, Rosberg, Massa
3 : Buemi, Alguersari
2 : Barrichello, Di Resta
1 : Maldonado, Liuzzi, Sutil
07 juillet, 2011
Omar m'a tuer **
1991, le meurtre de Ghislaine Marchal et l'arrestation d'Omar Raddad, en parallèle, en 1994, l’enquête d"un écrivain qui ne croit pas en sa culpabilité
Comme on pouvait s'y attendre, de l'ouvrage très honnête et sobre de la part de Roschdy Zem, un film engagé, pour Omar Raddad, mais avec suffisamment de recul... on n'est pas dans le film politique dénonciateur des 70s facon Boisset. Il s'appuie sur l’enquête de Jean-Marie Rouard, mélange de reconstitution des faits et d'étude psychologique sur le cas Raddad. Bouajila est en effet impressionnant, transmettre les émotions de quelqu'un qui ne sait pas ou peu écrire et ne maitrise pas la langue de ses interlocuteurs. On se replonge totalement dans l'univers des années 90, avec de nouveau la personnalité unique de Jacques Vergés, l"avocat de Raddad. Film sans surprise, donc,à la fois son mérite et sa limite.
04 juillet, 2011
Thomas Levet & Novak Djokovic
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