Sa victoire à l'US Open ce week-end est de celles qui marquent les esprits. On peut aussi y voir des symboles à foison, le plus évident étant que c'est lui qui s'impose alors que Woods est absent - genre passation de pouvoir évidente. C'est sans doute vrai, en tout cas on n'avait pas eu depuis l'émergence de Woods en 99-00 autant l'impression qu'on avait sous les yeux la future star des fairways et des greens. Tout le monde a été médusé par son talent sur les trois premiers jours (il a en effet été un peu moins flamboyant lors du 4e tour) et on se rend compte maintenant qu'il a failli remporter haut la main les deux premiers majeurs de l'année et que le grand chelem aurait même été carrément envisageable !
De manière amusante, je vois en tout cas un parallèle assez évident entre Sebastian Vettel et lui : à peu près le même âge, la même figure un peu "enfantine" et les mêmes certitudes d'être les plus forts de leurs sports.
L'univers de LAURENT F. BOLLEE, plus connu sous ses initiales LFB ! BD, course automobile, réflexions personnelles au menu... sans oublier les critiques ciné de notre chroniqueur El Bacos ! Welcome...
20 juin, 2011
Rory McIlroy
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