Ah, je vous vois venir ! Vous voulez que je vous parle de Michael Schumacher ! Evidemment, on y est obligé après le nouveau coup bas qu'il a porté à son sport et à ses petits camarades... Quand on me dit parfois : mais pourquoi est-ce que tu n'aimes pas Schumi ? et que je réponds que je n'aime pas son attitude en piste parce qu'elle est toujours ambigue et à la limite du mauvais esprit voire de la légalité tout court, je recherche toujours un exemple pour prouver mon propos. Et je dois avouer qu'avec les années, je perds quelques fois mes repères et je ne sais plus trop où remonter... Mais là, avec cette histoire, plus de problème ! Ce qui s'est passé samedi dans la dernière minute de la séance qualifs du GP de Monaco illustre parfaitement ce que je reproche à ce septuple champion du monde.
Le voir aller se ranger près du rail en faisant semblant d'être en perdition m'a vraiment fait hurler, comme aux plus beaux jours de 2002 (souvenez-vous de ce GP d'Autriche...). C'est vraiment risible, et indigne de lui. Sauf que c'est loin d'être la première fois et que c'est révélateur d'une mentalité où l'on cherche à tirer profit de la situation non pas en trichant mais en truquant. Le fait qu'il ait été puni a été une vraie bonne nouvelle : il n'est plus sur son piédestal où l'on n'ose pas le toucher et lui dire quoi que ce soit ! Depuis 2004, la situation a changé et son statut a évolué. Il n'est plus intouchable, répétons-le. Et plus que le geste, c'est finalement la sanction que je retiendrais de ce week-end.
Ensuite, la course a confirmé qu'Alonso et Raikkonen forment une sacrée paire, mais espérons pour le Finlandais qu'il ne devienne pas le nouveau Trulli, à savoir M. Malchance. Pour la première fois, j'ai été vraiment déçu que Webber n'aille pas au bout : c'était plutôt très bien quand il est revenu au contact du duo d'enfer...
Enfin, à un moment, je ne sais pas si vous vous en souvenez, on voit Alonso et Raikkonen revenir sur un groupe d'au moins six voitures qui s'expliquent pour des places d'honneur... Honnêtement, on frémissait devant cette situation explosive et dans un cadre comme celui de Monaco, on comprend pourquoi ce sport est le plus fascinant de tous...
Les étoiles :
* * * : Alonso
* * : Coulthard, Barrichello
* : Raikkonen, Montoya, Webber, Montagny
Le voir aller se ranger près du rail en faisant semblant d'être en perdition m'a vraiment fait hurler, comme aux plus beaux jours de 2002 (souvenez-vous de ce GP d'Autriche...). C'est vraiment risible, et indigne de lui. Sauf que c'est loin d'être la première fois et que c'est révélateur d'une mentalité où l'on cherche à tirer profit de la situation non pas en trichant mais en truquant. Le fait qu'il ait été puni a été une vraie bonne nouvelle : il n'est plus sur son piédestal où l'on n'ose pas le toucher et lui dire quoi que ce soit ! Depuis 2004, la situation a changé et son statut a évolué. Il n'est plus intouchable, répétons-le. Et plus que le geste, c'est finalement la sanction que je retiendrais de ce week-end.
Ensuite, la course a confirmé qu'Alonso et Raikkonen forment une sacrée paire, mais espérons pour le Finlandais qu'il ne devienne pas le nouveau Trulli, à savoir M. Malchance. Pour la première fois, j'ai été vraiment déçu que Webber n'aille pas au bout : c'était plutôt très bien quand il est revenu au contact du duo d'enfer...
Enfin, à un moment, je ne sais pas si vous vous en souvenez, on voit Alonso et Raikkonen revenir sur un groupe d'au moins six voitures qui s'expliquent pour des places d'honneur... Honnêtement, on frémissait devant cette situation explosive et dans un cadre comme celui de Monaco, on comprend pourquoi ce sport est le plus fascinant de tous...
Les étoiles :
* * * : Alonso
* * : Coulthard, Barrichello
* : Raikkonen, Montoya, Webber, Montagny
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