Actualité chargée pour votre serviteur en ce moment, avec comme chaque année un mois de juin où on n'arrive pas à sortir la tête de l'eau : les 24 Heures du Mans prennent toute l'énergie et on s'en remet à peine qu'il faut déjà repartir sur des circuits. J'étais ce week-end au Val de Vienne, entre Poitiers et Montmorillon, pour un meeting de Super Série FFSA, autrement dit le meilleur du sport auto à la française. Week-end crevant car je m'occupe de la rédaction en chef/coordination des moyens télévisuels sur place (Motors TV a en effet le contrat d'assurer la fourniture des images "officielles" de l'événement), ce qui oblige à être là le premier et à repartir le dernier : on n'est pas loin à chaque fois des vingt heures de présence par jour sur le circuit...
C'est l'occasion en tout cas de retrouver pas mal de monde que je connais bien dans le monde du sport auto, et notamment "Olive", à savoir Olivier Panis (photo), qui est une des têtes d'affiche maintenant du Championnat de France GT. Je connais Olivier depuis plus de quinze ans, et c'est un type vraiment sympa que j'apprécie beaucoup, qui est "normal" et amical, ayant évidemment gardé un sacré coup de volant et ayant toujours autant la rage de gagner ! On rappellera au passage qu'il demeure toujours le dernier vainqueur français d'un GP de F1 : à Monaco en 1996. Il est le premier à trouver ça incroyable que pas un tricolore n'ait gagné depuis treize ans (et ça risque de durer, on en a bien peur...)
Du coup, je n'ai pas pu voir la finale de Wimbledon mais j'ai bien sûr appris le résultat du match Federer/Roddick et comme beaucoup, sans doute, on est bien content que Roger soit maintenant tout seul au firmament du tennis mondial avec donc 15 victoires en grand chelem. A la rigueur, j'ai tendance à dire que la blessure de Nadal est bien tombée pour que le Suisse puisse se positionner dans l'Histoire comme il le devait. Maintenant, j'aurais tendance à dire qu'il est temps que l'Espagnol revienne, car il nous (me) manque et on a hâte de retrouver ces finales d'anthologies où Federer est clairement en danger...
Enfin, je signalerais que j'avais à la maison un courrier émanant d'une certaine Florabelle Rouyer, ci-devant Chef de bureau au Centre National du Livre. Il faut que je vous dise que j'avais en effet fait une demande pour obtenir une bourse de la part de cet organisme afin d'écrire mon roman graphique Bandaiyan. La possibilité de cette bourse étant offerte à ceux qui travaillent et "qui souhaitent dégager du temps libre pour un projet d'écriture" - j'étais parfaitement dans le créneau, ayant évidemment du mal à faire cohabiter mes deux métiers. Hélas, Florabelle m'apprend que "le président du CNL a décidé de ne pas retenir (ma) candidature". Une vraie déception, je l'avoue. Sans verser dans la parano, on se demande bien ce qu'il faut comme autres critères que ceux que j'avais avancés (autre profession, grande documentation à trouver et important travail de recherche, roman graphique, "grand" éditeur derrière...) pour être éligible mais bon, c'est comme ça... 0n se battra donc tout seul...
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